Less
Réduire votre empreinte écologique
Les gaz à effet de serre (GES) sont des gaz de l'atmosphè re qui absorbent la chaleur et font monter la température de la terre. Six gaz à effet de serre sont ciblés dans le cadre du protocole de Kyoto en raison des volumes importants qui sont générés par les activités humaines et de leur incidence sur notre atmosphè re. Pour consulter la page de l'Agence pour la protection de l'environnement américaine sur les gaz à effet de serre, cliquez ici.
Il y a deux types d'émissions : les directes et les indirectes. L'organisme Greenhouse Gas Protocol Initiative (en anglais) définit les émissions directes comme celles qui sont produites par des sources appartenant à des entreprises ou contrôlées par celles-ci (type 1). Elles comprennent par exemple les émissions produites par un site manufacturier ou par la flotte de véhicules d'une entreprise. Les émissions indirectes sont celles qui proviennent des activités des entreprises, mais qui sont produites par des sources appartenant à des tiers ou contrôlées par eux. Elles comprennent par exemple les émissions liées à l'achat d'électricité (type 2) ou aux déplacements aériens d'un employé (type 3).
Selon le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC), le potentiel de réchauffement du globe (PRG) permet de comparer la capacité de chaque gaz à effet de serre à piéger la chaleur dans l'atmosphè re. Les PRG sont basés sur le rendement en rayonnement (capacité à absorber la chaleur) de chaque gaz par rapport au dioxyde de carbone (CO2) et sur leur taux de décroissance (la quantité éliminée dans l'atmosphè re pour un nombre d'années donné) par rapport au CO2. Le PRG permet de convertir les émissions de différents gaz en mesure quantifiable, ce qui permet aux analystes du climat de regrouper les effets radiatifs de différents gaz dans une mesure uniforme avec un dénominateur en équivalents exprimé en dioxyde de carbone ou en carbone. Pour consulter un tableau des PRG de différents gaz à effet de serre, cliquez ici (en anglais).
Les crédits compensatoires Less
Tous les crédits compensatoires Less sont issus de projets certifiés Gold Standard mis en oeuvre dans les pays en voie de développement et de projets certifiés ISO mis en oeuvre ici au Canada.
Pour obtenir plus de renseignements sur nos projets de premier plan, consultez notre page Projets.
Tous les crédits compensatoires de Less sont conformes aux critè res de quantification du mécanisme pour un développement propre (MDP) du protocole de Kyoto. Les projets certifiés Gold Standard et ISO sont conformes à une méthodologie reconnue par les experts de la CCNUCC et le conseil de direction (CD) du MDP qui permet d'en définir les bases, d'évaluer les émissions liées aux projets et les réductions qui en découlent, et de déterminer les procédures de contrôle.
Les projets certifiés CSA sont conformes à la norme ISO 14064-3 alors que la quantification, la surveillance et la production de rapports de GES sont faites conform aux normes ISO 14064-1 ou ISO 14064-2.
Less s'engage à offrir des crédits compensatoires de la plus haute qualité. Les crédits Gold Standard permettent une réduction des émissions de GES dans le cadre de projets mis en oeuvre dans les pays en voie de développement qui mettent l'énergie renouvelable et l'efficacité énergétique de l'avant. Tous les projets font l'objet d'un suivi pour s'assurer que des efforts qui vont au-delà des opérations normales sont déployés pour créer une incidence positive sur l'environnement en plus d'être favorables pour les réseaux sociaux et l'économie locale où ils sont mis en oeuvre. Présentement, les crédits compensatoires Gold Standard sont issus de projets d'énergie renouvelable qui permettent des réductions d'émissions quantifiables par le remplacement de sources d'énergie fossiles. Or, les quantités des réductions obtenues ont été vérifiées et sont permanentes. En revanche, les projets de stockage de carbone, comme les plantations d'arbres, sont plus risqués. Ils permettent de stocker du carbone, mais peut-être pour une période de temps indéterminée. Dans certains cas, il n'y a aucune certitude que la quantité de carbone prévue pour la compensation sera véritablement obtenue.
à l’heure actuelle, il n’y a pas de projets de crédits compensatoires certifiés Gold Standard au Canada. Toutefois, Less offre des compensations provenant de projets canadiens qui ont obtenu la norme ISO 14064, une norme mondialement reconnue et respectée pour les projets volontaires de réduction des émissions de GES. La norme ISO 14064 suit les méthodologies de mécanisme pour un développement propre des Nations Unies et permet à des projets situés dans des pays développés—et donc en dehors de la compétence du programme de certification Gold Standard et des Nations Unies—de respecter des normes de rendement équivalentes et d’atteindre un niveau élevé de réduction d’émissions. Le programme de certification est géré par le Groupe CSA, l’une des principales sociétés offrant des services de validation et de vérification pour les projets de compensation adhérant aux processus du protocole de Kyoto.
Less publie un audit indépendant annuel fait par un cabinet reconnu à l'échelle internationale pour démontrer que tous les crédits compensatoires internationaux sont issus de projets certifiés Gold Standard et que tous les crédits canadiens sont issus de projets certifié ISO. L'audit permet de vérifier que tous les crédits compensatoires sont délivrés au nom des clients de Less pour prévenir la double comptabilisation des bénéfices environnementaux. Il permet également de valider que Less a fait l'acquisition d'un nombre suffisant de crédits compensatoires issus de projets certifiés Gold Standard, VER+ ou CSA pour répondre à tous ses engagements contractuels ou aller au-delà de ceux-ci.
Vous pouvez choisir des crédits compensatoires issus de projets internationaux certifiés Gold Standard ou issus de projets certifiés basés au Canada.
Pour obtenir plus de renseignements sur nos projets de premier plan, consultez notre page Projets.
Less permet aux particuliers et aux entreprises de choisir entre des crédits compensatoires issus de projets internationaux certifiés Gold Standard ou issus de projets canadiens certifiés par CSA pour réduire leur empreinte écologique et leurs émissions. Les entreprises qui veulent atteindre la carboneutralité devraient tout d'abord calculer leur empreinte écologique en plus d'avoir une bonne compréhension des activités ou des produits à l'origine de leurs émissions. Less mise sur une approche en trois étapes, approuvée par des chefs de file en matiè re d'environnement, pour réduire l'empreinte écologique des entreprises. La premiè re: conserver; la deuxiè me: passer au vert en misant sur des options qui ont une incidence moins importante sur l'environnement pour les produits et les services essentiels et finalement : lorsque les efforts nécessaires ont été déployés pour les étapes précédentes, utiliser des crédits compensatoires de haute qualité pour les émissions « inévitables ».
À propos de Gold Standard
La Gold Standard est une fondation sans but lucratif basée à Basel en Suisse. Fondée en 2003 par un groupe d'organismes comprenant, entre autres, le World Wildlife Fund, la Fondation Gold Standard croit que la seule véritable façon de lutter contre les changements climatiques est de changer nos méthodes de consommation d'énergie et les quantités que nous consommons. Le système de certification Gold Standard a été développé pour que les marchés du carbone, en plus de ceux des finances, travaillent à la mise en oeuvre d'une solution à long terme pour la lutte contre les changements climatiques et la promotion du développement durable. Comme les combustibles fossiles sont à l'origine de plus de 60 % des émissions de gaz à effet de serre produits par l'homme, la Gold Standard mise uniquement sur des projets d'énergie renouvelable et d'efficacité énergétique qui permettent de réduire les émissions à la source. Aujourd'hui, l'appellation Gold Standard est reconnue mondialement en plus d'être soutenue officiellement par plus de 80 organismes environnementaux et de développement. La certification Gold Standard s'applique aux projets mis en oeuvre dans les pays en voie de développement.
La certification Gold Standard s'applique uniquement aux crédits compensatoires issus de projets qui répondent aux critè res suivants :
- Projets d'énergie renouvelable et d'efficacité énergétique.
- Projets qui ont passé le test d'additionalité de la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques. (Cliquez ici pour consulter les critè res du test pour nos crédits compensatoires) (en anglais).
- Projets qui sont reconnus pour leurs efforts en matiè re de développement durable.
La méthodologie Gold Standard est composée d’une série des tests de qualité qui s’ajoutent aux exigences du mécanisme pour un développement propre en vue de la mise en oeuvre de projets. Gold Standard ajoute trois tests spécifiques pour le contrôle de la qualité d’un projet donné :
- Est-ce que le projet repose sur des technologies d'énergie renouvelable ou d'efficacité énergétique?
- Est-ce que des efforts qui vont au-delà des opérations normales sont déployés, tels que définis par l'outil d'additionalité de la CCNUCC?
- Est-ce que le projet met le développement durable de l'avant?
La certification Gold Standard s'applique aux projets mis en oeuvre dans les pays en voie de développement. Pour obtenir plus de renseignements sur Gold Standard, veuillez cliquer ici.
Les projets de développement durable répondent à nos besoins actuels sans compromettre la capacité des générations futures à satisfaire leurs propres besoins (par exemple, des projets de haute technologie pour le développement de systèmes d'irrigation solaires qui facilitent l'agriculture communautaire dans les régions en voie de développement).
Les projets certifiés Gold Standard permettent une réduction des émissions de GES au moyen de technologies d'énergie renouvelable ou d'efficacité énergétique en plus de favoriser le développement durable pour les communautés où ils sont mis en oeuvre. Tous les projets certifiés Gold Standard font l'objet d'évaluations rigoureuses en matiè re d'environnement menées par des tiers accrédités appelés « entités opérationnelles désignées ». La certification Gold Standard s'applique aux projets mis en oeuvre dans les pays en voie de développement.
Une entité opérationnelle désignée (EOD) est une tierce partie responsable de valider que les résultats d'un projet sont authentiques et mesurables en plus de s'assurer qu'ils ont entraîné des réductions d'émissions à long terme. Il y a présentement 19 EOD accrédités par les Nations Unies dans le monde. Pour en consulter la liste complète, veuillez cliquer ici. (en anglais). Ces organismes sont accrédités pour la validation d'un ou de tous les projets de compensation approuvés par les Nations Unies.
La Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC) est l'agence qui s'assure de la mise en oeuvre du protocole de Kyoto. Même si la CCNUCC a un conseil de direction, les décisions quant au cadre du protocole sont prises par l'ensemble des nations membres (Parties de l'accord). (en anglais)
Le terme additionalité est utilisé par l'industrie pour stipuler que les réductions d'émissions associées à un projet n'auraient pas été obtenues dans le cadre des opérations normales de ce projet en raison d'au moins une des entraves suivantes :
- Une entrave financiè re : les options moins coûteuses pour le projet auraient entraîné une plus grande quantité d'émissions.
- Une entrave technologique : les options moins avancées sur le plan technologique représentaient moins de risques ou la technologie mise de l'avant pour le projet n'est pas largement répandue.
- Des entraves dues aux pratiques courantes : les pratiques courantes, la réglementation existante ou les exigences des politiques auraient entraîné l'utilisation d'une technologie produisant une plus grande quantité d'émissions.
- Autres entraves : sans cette décision, prise pour une autre raison spécifique par la personne responsable du projet, la quantité d'émissions aurait été plus élevée. Les raisons potentielles comprennent les entraves institutionnelles, le manque d'information, les ressources de gestion, les capacités organisationnelles, les ressources financiè res ou la capacité de mise en oeuvre des nouvelles technologies.
Tous les crédits compensatoires de Less sont issus de projets qui ont dû composer avec ces quatre types d'entraves.
Les crédits compensatoires de Less sont conformes aux exigences du mécanisme pour un développement propre (MDP) du protocole de Kyoto. De plus, les crédits compensatoires internationaux de Less répondent aux normes additionnelles de la Fondation Gold Standard (GS) sans but lucratif qui ne certifie que les crédits qui répondent à des critè res additionnels. Ces deux normes (MDP et GS) permettent aux clients de Less de s'assurer qu'ils achè tent des crédits compensatoires internationaux de la plus haute qualité qui répondent manifestement aux critè res d'additionalité.
Le MDP est l'un des trois mécanismes modifiables du protocole de Kyoto (en plus de l'Application conjointe et de l'échange de droits d'émission) utilisés pour aider les pays développés (annexe 1, en anglais) à atteindre leurs objectifs en matiè re de réduction d'émissions. Le MDP permet de réduire les émissions de gaz à effet de serre de la planè te en voyant à ce que les économies émergentes bénéficient de financement (non annexe 1, en anglais) pour éviter de miser sur des solutions à haut volume d'émissions comme la production d'électricité à partir de combustibles fossiles ou les procédés de fabrication sans technologie de capture du carbone. Dans l'ensemble, le MDP permet de s'assurer que les marchés émergents peuvent compter sur les meilleures pratiques « vertes » dans le monde. Pour obtenir davantage de renseignements sur le sujet, veuillez cliquer ici (en anglais).
à propos de CSA Standard
Une partie des crédits compensatoires canadiens de Less sont issus de projets conformes à la norme ISO 14064, une norme reconnue et respectée à l’échelle mondiale pour les projets de réduction des émissions de GES. L'ISO 14064-3 spécifie des exigences pour la sélection des valideurs/vérificateurs GES, l'établissement du niveau d'assurance, des objectifs, des critères et du domaine d'application, la détermination de la méthode de validation/vérification, l'évaluation des données, informations, systèmes d'informations et contrôles GES, l'évaluation des déclarations GES et l'élaboration des avis de validation/vérification.
Même si les changements climatiques et les émissions de carbone sont des enjeux mondiaux et que les projets de réduction des émissions offrent des avantages à l'échelle mondiale, et ce, peu importe où ils sont mis en oeuvre, Less veut que ses clients puissent soutenir des initiatives locales s'ils le veulent en plus de se procurer des crédits compensatoires issus de projets canadiens. Comme la certification Gold Standard s'applique uniquement aux projets mis en oeuvre dans les pays en voie de développement (donc pas aux projets mis en oeuvre au Canada actuellement).
Déplacements aériens
Oui. Les avions produisent des gaz à effet de serre comme le dioxyde de carbone en brûlant des combustibles fossiles. Ces émissions augmentent la concentration des gaz à effet de serre dans l'atmosphè re. Ces gaz supplémentaires accentuent l'effet de serre qui, à son tour, à une incidence sur les changements climatiques.
Selon le rapport d'inventaire national d'Environnement Canada sur les Sources et puits de gaz à effet de serre, les déplacements aériens représentent environ 2 % de l'ensemble des émissions de gaz à effet de serre du Canada. Le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) estime quant à lui que d'ici 2050, les émissions issues des déplacements aériens représenteront 5 % de l'incidence humaine sur les changements climatiques. Source (en anglais)
En plus des émissions de dioxyde de carbone, les déplacements aériens produisent d'autres émissions nocives et des traînées de condensation et de particules de suie (qui peuvent contribuer à la formation de nuages cirrus). Selon les experts du Imperial College London (en anglais), le forçage radiatif est le changement de l'équilibre entre les radiations pénétrant l'atmosphè re (rayons du soleil) et celles qui s'en échappent (énergie du soleil et chaleur). Le forçage radiatif positif tend à réchauffer la surface de la Terre et le forçage radiatif négatif tend à la refroidir.
Les déplacements aériens génè rent un forçage radiatif positif très élevé, et c'est pour cette raison qu'ils sont considérés comme ayant une incidence importance sur le réchauffement planétaire. Précisément, les avions produisent des émissions en haute altitude (dans la stratosphè re) comparativement à celles des autres sources qui sont émises dans la basse atmosphère (troposphère). Les émissions de GES à haute altitude, en plus des traînées de condensation des avions (qui contiennent de la vapeur d'eau, un GES), entraînent un forçage radiatif positif trè s élevé qui empêche, de façon considérable, le rayonnement infrarouge et la chaleur de quitter l'atmosphè re terrestreMême si les études scientifiques ne sont pas concluantes, le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (en anglais) recommande que tous les déplacements aériens soient soumis à un facteur de forçage radiatif de 2 à 4.
Less multiplie le facteur d'émissions utilisé par l'Association canadienne de normalisation (en kilogrammes de CO2 par kilomè tre de passager) par la distance du vol, en se basant sur les données de longitude et de latitude des aéroports et en tenant compte de la courbure de la terre. Le résultat est ensuite multiplié par le nombre de segments d'un vol donné (aller ou aller-retour).
Les distances du vol sont calculées à l'aide d'un grand cercle, ce qui permet d'obtenir l'itinéraire le plus court entre deux points sur une sphè re (comme la terre). On obtient un grand cercle en dessinant un cercle autour d'une sphè re en s'assurant que le centre de la sphè re est au centre du cercle. Pour obtenir plus de renseignements sur les grands cercles, veuillez cliquer ici (en anglais).
On applique un facteur de partage du trafic au résultat obtenu avec le grand cercle pour tenir compte de l'échelonnement des avions dans les aéroports en périodes d'achalandage.
Les distances des vols ont une incidence sur leurs émissions basées sur la durée totale du vol par rapport au temps de décollage et d'atterrissage qui génè rent des quantités disproportionnées d'émissions. Less utilise les calculateurs du Department of Environment, Food & Rural Affairs (DEFRA) du Royaume-Uni qui permettent de faire des calculs pour les vols intérieurs, les vols courte distance, les vols longue distance et les vols internationaux en tenant compte des classes (affaire et économique). En raison de la géographie du Canada et des offres des compagnies aériennes sur le marché actuel, nous avons choisi de simplifier notre calculateur et d'utiliser le facteur de vols internationaux du client moyen du DEFRA pour déterminer les quantités estimatives d'émissions pour l'ensemble des vols.
Les clients peuvent choisir des compensations pour l'incidence des émissions de gaz à effet de serre en haute altitude (appelées émissions à haute altitude ou forçage radiatif) en multipliant leur empreinte en matiè re d'émissions par un facteur de 2, le facteur minimal recommandé par le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC).
Less calcule chaque segment (aller et retour) d'un vol de façon indépendante. De cette façon, nous comptabilisons les quantités importantes d'émissions produites au moment de chaque décollage et atterrissage.
Dans le cas des escales, nous offrons deux options spécialisées pour aider les clients à calculer leurs émissions :
- L'option Destinations multiples permet aux clients d'inclure une escale en ajoutant simplement leurs destinations à la fin de leur itinéraire.
- L'option Circuit ouvert peut également tenir compte des escales, mais elle est principalement conçue pour aider les clients à calculer leurs émissions lorsqu'ils atterrissent dans une ville, mais qu'ils repartent d'une autre ville.
Même si les processus de calcul des options Destinations multiples et Circuit ouvert sont légè rement différents, les quantités d'émissions pour des vols équivalents seront les mêmes.
Je prends deux vols séparés dans le cadre de mon voyage avec un mode de transport différent entre les deux (vol, train, vol, par exemple). Est-ce que je peux utiliser votre calculateur pour mes émissions?
Oui, vous avez un billet Circuit ouvert. Avec un billet d'avion Circuit ouvert, un voyageur peut prendre son vol de retour dans une ville différente de celle où il est arrivé, ou il peut avoir une destination différente de celle de son départ. C'est le cas lorsqu'il faut prendre la voiture, le train ou le bateau entre deux points aéroportuaires. Par exemple, une voyageuse peut prendre un vol St John's-Montréal, faire Montréal-Toronto en train, et prendre un vol St John's-Toronto pour le retour.
Est-ce que les émissions de tous les passagers d'un vol seront compensées ou seulement celles associées au nombre de passagers spécifié au moment de l'achat de crédits compensatoires?
Seules les émissions associées au nombre de passagers spécifié au moment d'un achat seront compensées. Par exemple, si l'itinéraire du vol s'applique à seulement une personne, seules les émissions relatives à celle-ci seront compensées. Les émissions de gaz à effet de serre par personne sont calculées en multipliant le facteur d'émissions moyen (en anglais) par passager individuel par le nombre de kilomè tres parcourus. Pour déterminer le nombre de kilomè tres parcourus, Less utilise la méthode orthodromique (grand cercle).
La méthode orthodromique permet de calculer la distance la plus courte entre deux points sur la surface d'une sphère. Même si la terre est un ellipsoï de aplati, nous pouvons utiliser les formules applicables à une sphè re pour déterminer le trajet d'un avion dans les airs. Par conséquent, le grand cercle représente la distance mesurée d'un trajet sur la surface d'une sphè re (et non celle qui passerait en son centre).
Cliquez ici (en anglais) pour un exemple d'utilisation de la méthode orthodromique. Cliquez ici (en anglais) pour savoir comment les distances sont calculées avec la méthode orthodromique.
Oui. Less permet à ses clients d'acheter des crédits compensatoires par volume pour des activités comme l'utilisation de véhicules, l'hébergement dans le cadre des déplacements, les conférences et les activités générales. Cliquez ici pour acheter à la tonne.